Ces deux-là étaient faits pour s’entendre. D’un côté l’ovni Tristan Thomas, repéré dans des lives oscillant entre techno et performance théâtrale absurde. De l’autre Tino Gelli, chanteur de pop psyché aux références aussi perchées que son allure. A eux deux, ils forment Walter Astral, ou quand l’acid techno rencontre le psychédélisme hippie autour d’une guitare électrique, de paroles lunaires ou d’un banjo qui sonne comme un saz. Destruction de dancefloor en perspective !