Peu importe l’heure, on est comme télé-transportés : la musique de Lazuli, tendance latine, pop et rap, chantée en français ou en espagnol avec un poil de nonchalance et souvent bardée de percussions irrésistibles, fleure bon le dancefloor baile funk ou reggaeton en transe. Et ce n’est pas Brodinski ou King Doudou, avec qui elle a signé certains de ses morceaux les plus incendiaires, qui iront dire le contraire.