Viscéralement attaché à sa Bretagne natale, Elliott Armen y compose de douces ritournelles folk sur lesquelles planent les fantômes d’Elliott Smith, Sufjan Stevens ou Andy Shauf. Quand des accords de piano et de guitares se mêlent à une voix délicate qui rappelle la sensibilité de Cocoon, nous voilà transportés sur l’île de Ouessant, des embruns plein les cheveux, à jurer que non non, si on pleure, c’est le vent !