« J’ai choisi d’faire du rap et je f’rais tout pour que ça soit durable (…) J’ai pas d’plan B, j’peux pas m’planter » : à seulement 21 ans, Bekar a déjà le rap chevillé au corps, au cœur et au micro. Rapper comme une nécessité et un exutoire, il le fait le texte en avant, réaliste et inquiet sans jamais perdre espoir. Mais attention : ce n’est pas parce que sa plume est subtile que le Roubaisien, s’appuyant sur les sons de son beatmaker Lucci, oublie de faire jumper les foules.