Trouver l’équilibre parfait, l’harmonie donc, entre acoustique et électronique : c’est la quête de la violoniste auvergnate Marion Lhoutellier, alias Armoni, qui jongle entre archet et machines pour créer ses morceaux épiques et émotifs. Des épopées aux influences naturellement diverses, depuis les grands compositeurs classiques jusqu’à l’électronique sensible de Paul Kalkbrenner et Rone.